Regarde le monde rouge
en souffrance et
console-toi en
mon amour blanc…
Le tyran asservi
saignera nos attentes
Ce faisant
le doux bruissement
de notre amour
reprisera nos plaies
Le monde est blanc
blanc de fumée et
Fort serre mon
Cœur rubis…
Nous ferons
de la haute couture
Nos points de suture…
inestimables bijoux
du paradis des fous.
Neige et sang sont bannis
de nos imaginaires
Revêtons les habits
d’un été de lin brut
Nouvelle trame des jours qui ne trembleront plus.
Rodin La Cathédrale