L'atelier Poésie de Martine Cros
Friedrich Schiller POÉSIE DE LA VIE Qui pourrait se repaître d’images mensongères dont la fausse apparence nous cache la réalité et trompe notre espoir par un vain jeu ? Moi, je veux voir la vérité sans voile, dût mon beau ciel disparaître avec mon illusion,...
Détail, Allan Ryan Ô toi ma voix passive L’ainsi l’ange en moi lave pleur J’étais reçue dans mon silence avec ma nouvelle arme de patience recluse à la frugalité du soir une mendiante et une femme assises devant des quartiers de pomme comme des reines...
http://www.andreaphoto.book.fr/ Etrange plaine aspirée par la chute Est-il monde enfoui plus puissant que ce val Cette vallée de failles que tu t’es interdite À ta main qui la fuit main divine et bourreau As-tu perdu l’espoir en ma nature morte affolée...
Lauren Je suis Malina Ingeborg. Isabelle est venu en moi déchiré. Nous étions deux fractures vivantes. Mais femmes, il n’y eut plus de guerre. Je suis aussi une histoire d’amour impossible entre Lauren et Franz. Rainer-Maria vous le dira, il était avec...
" Ce sont tes yeux, hélas, qui sont toujours fermés Entre dans le désir et alors tu verras Que la porte jamais n'est fermée devant toi ! " Attar, "Le cantique des Oiseaux" Leili Anvar,à Fès, Festival des musiques sacrées du monde, photo: Jean-Claude Cintas. Elle...
Quand j’écris quand je peins, ce que je sais, c’est que je suis à la fois ailleurs et en PLEIN centre de moi-même entre la férocité et les fondés de pouvoir de la lumière
Dieu que nous sommes tous dramatiquement les mêmes et comme nous créons nos fléaux avec ferveur ! Puissions-nous nous vanter lorsque nous les aurons dépassés! Et c’est pour cela que je crée ce lieu dans la roche profonde de l’âme où je puis être un jour...
Je ne suis pas le soleil qui éblouit enfouit ses secrets dans le ventre chaud qui crie de l’intérieur Je suis ombre et j’aime la lumière Je suis obscure Je cherche le rai le plus pur pour y voir des poussières de parole Je ne peux aimer passionnément...
* Les barrages ont cédé Dans les paumes des mains Ce qui m’inonde * Aux lendemains Troués des eaux S’ouvre la fleur de sel * Des muses évaporées perlent Des bourgeons de mots Et la pluie de mai * La peur chevaleresque Revient au galop Porterai ce qui...
* Mais quelle est donc cette colonne de contemplation qui ne se fracture jamais 2 juillet 2015