L'atelier Poésie de Martine Cros
quand passe l’oiseau d’argent ton souffle s’enfle vers son corps qui attend amplement ton aveu n’est-il pas un rêve qui au feu d’une trêve si brûlante pour tes mains douces n’abatte le clair de mes doutes qu’il lui faille tenter toutes les tessitures...